02:02:00 • Charly • Commentaire publié le 27/07/2021
Temps depuis Moûtiers. 37' pour les 7 derniers km.



Complètement hors normes. Des vrais murs où il faut forcément tout donner pour ne pas mettre pied à terre. Pour le reste pas d'autre choix que d'y aller mollo pour reprendre son souffle puis tenter d'économiser le plus possible ses forces. Le plus dur entre 4 et 2 km du sommet car là les "replats" restent sévères. Et l'énorme dernière marche à 300m, stupéfiante (heureusement qu'il ne reste que 150m après avant d'en finir).



Vraiment atypique. Il faudrait des braquets de VTT pour mieux "lisser" le truc (j'avais 34x28...). Un challenge exceptionnel.
02:11:56 • Nar'b! • Commentaire publié le 27/06/2022
Gravi le 27/07/21

Temps depuis Moûtiers.

46'38'' pour les 7 derniers km.

Ceux-là comptent réellement.

Les deux premiers raidars se passent plutôt bien, à l'adrénaline, à la moelle.

Les suivants (mais combien y en a-t-il?) c'est déjà de l'équilibre, un funambule sur son fil.

Et la rampe finale? Comme sortir la tête de l'eau avant asphyxie.
02:44:00 • Jean-Charles • Commentaire publié le 31/07/2020
7 derniers kilomètres avec une pente irrégulière er plusieurs passages entre 18 % et 20%
02:40:00 • oran • Commentaire publié le 01/09/2019
ce versant est beaucoup mieux que l'autre :

- plus dur : même dénivellation évidemment (c'est le même départ à Brides) mais plus court

- le trafic, notamment celui des camions, est moindre

- la montagne c'est à dire la partie correspondant à la route réservée est bien moins abîmée par les infrastructures liées au ski.

si vous n'êtes jamais allé à Méribel et que vous trouvez l'itinéraire le plus direct du premier coup, vous êtes fortiche
00:00:02 • Bruno V • Commentaire publié le 04/09/2019
Rien qu'en regardant la longueur et le dénivelé, on comprend tout de suite (supérieur au Mt VENTOUX), mais ici la "pente moyenne" n'a d'intérêt que jusqu'à la piste, à partir de là reste 7km et 661m de dénivelé, mais la route n'offre que des "coups de cul" plus ou moins long, plus ou moins pentu: au moins 8 >à 16%, un passage à 20% et le final à 18 sur + de 100m (environ)!!! entrecoupés par du plat ou de la descente, est-ce mieux qu'un col régulier???? Le final à découvert est magnifique et la vue au sommet....... Mais tout ceci se mérite car les totos restent en bas et c'est tant mieux.
00:47:00 • Sparta • Commentaire publié le 27/08/2024
A force de lire "un monstre... le plus difficile de ma vie... j'ai mis pied à terre... hors norme....à bout de souffle etc..." j'ai fini par aller voir.

Bon, les 7 derniers kms sont assez durs mais pas très durs.

Je le classerai pas très loin du Mortirolo depuis Mazzo ou Tovo san agata, mais loin derrière Prato maslino depuis Berbenno ou Scalaro par Tavagnasco qui sont autrement plus durs en terme de nombre de ruptures de pentes et pourcentage de ces ruptures.

Pour revenir à la Loze oui ce n'est que rupture de pente sur rupture de pente, j'ai compté 2x20%, 2x18%, 3x16%, 1x15% et de nombreux passages jusqu'à 14%.

Mais si on est entrainé et avec un petit développement (30x30 pour moi) ça passe sans problème, assis tout le temps sauf les deux passages à 20%.

Et puis il faut relativiser : Si j'ai dépassé plusieurs cyclistes à la peine, il y a un gars qui m'a passé avec 4 ou 5km/h de mieux. Cela vous remet de suite à votre place !
02:48:02 • Michel G • Commentaire publié le 07/04/2022
Monté depuis Bride les Bains le 27/08/2020 Belle montée jusqu'à Méribel mais beaucoup de circulation ça ce corse à la sortie de Méribel les è km jusqu'au sommet du col de la Loze sont terrible même en 34X34 j'ai souffert. Un super souvenir quand même et splendide vue au sommet.
02:11:49 • Quentin D • Commentaire publié le 31/07/2023
Ascension effectuée en juillet 2023.



La Loze, en voilà un col qui ne ressemble à aucun autre avec ses ruptures de pentes aussi brutales que nombreuses. Pour avoir le privilège d'affronter ce monstre, il faut d'abord monter soit par Courchevel, soit par Méribel directement. Il est possible de monter la Loze par les deux côtés mais le plus sympa pour le challenge reste le versant partant de Méribel.

Méribel, c'est donc d'abord 11 km environ à 7% de moyenne. Les premiers kms sont assez raides mais une fois arrivé dans les premiers villages, la pente s'adoucit. La circulation routière reste la seule entrave à la progression. Une fois dans Méribel, la pente redevient sérieuse pour rallier le haut de la station. Au rond-point, on prend un chemin qui ne paye pas de mine, c'est là que commence la Loze et ses 7 kms dont le pourcentage moyen n'a plus aucune signification. Tout de suite, on se met en jambes avec quelques courtes rampes à 13-14%. Mais finalement, les premiers hectomètres se passent assez bien. Il y a suffisamment de replats pour absorber les ruptures de rampes. Mais progressivement, la difficulté se corse. Arrivé à 3km du sommet, les pentes les plus terribles se dressent face à nous. Il faut s'accrocher à ce moment car c'est sans doute le passage le plus dur à négocier où les zones de répit sont de plus en plus rares. La fin reste très compliqué avec des escaliers d'une difficulté redoutable. L'ultime difficulté réside dans le mur de fin, qui s'apparente à un mur d'escalade tant il est pentu. Mais comme on sait que c'est la fin, on se dépouille pour finir.

Je ne dirais pas que ce col est le plus dur de France comme ça a pu être dit à la télé. Il faut toutefois avoir des braquets adaptés à votre niveau. Pour ma part le 34x28 passait mais c'est limite. Je conseille un 34x32 pour être sûr de passer. Il faut aussi se préserver jusqu'à Méribel pour ne pas exploser dans la Loze. Enfin, profiter des replats pour descendre le coeur. Ce col est très dur mais finalement assez court donc loin d'être insurmontable.
02:18:11 • Guillaume B • Commentaire publié le 18/07/2020
L'expérience à vélo la plus originale... et la plus difficile de ma vie.



Je roule depuis 10 ans en Vanoise. J'ai fait le Ventoux des 3 côtés. Tous les cols de Savoie (ou presque) et les plus réputés des Pyrénées. Le Col de la Loze n'a rien à voir avec tout cela.



La montée depuis Brides les Bains est "sérieuse", avec les 3 ou 4km affichés à 8% mais bien souvent au moins à 9%, pour une mise en jambe, ça commence bien ! Ensuite, une montée savoyarde "classique" entre forêt, villages et arrivée dans la station de Méribel, juste le te temps de se refaire une santé (autour de 6 à 7% pendant une dizaine de km.

A la sortie de Méribel, on quitte le monde des autos. En fait le monde connu. Pour la piste cyclable la plus incroyable du monde :+) 7km de ruban d'asphalte posés à même la montagne. Sans la moindre concession aux plats... ni aux bosses. Résultat ? Un casse-pattes ininterrompu de 7km terrible pour les cuisses mais surtout pour le cardio. A peine le temps de se remettre d'une rampe à 18% que la suivante à 19 pointe son nez. Epingles en forme d'échelle de meunier, murs qui semblent infranchissables à vélo. Ca n'arrête pas. (Strava annonce 3km à 11% de moyenne). Et ça termine en apothéose sur les 300 derniers mètres à 15%... de moyenne dont le final à 20. Bon en fait, avec la langue qui pend, on ne voit plus son GPS. Impossible même de lire les %ages !



Malgré tout, cette expérience est juste fantastique. En contradiction totale avec l'avis des grincheux précédents, je mets un 20/20 à cette ascension. Car unique. Oui, nous sommes dans une station de ski, mais quelle chance extraordinaire d'avoir une commune qui décide de construire une piste réservée au cyclistes (sur route) en haute montagne ! Oubliées les hordes de motos et de camping cars du St Bernard ou de l'Iseran. Les seuls êtres vivants croisés sur l'ascension ? Des marmottes ! Et beaucoup. Un paysage à couper le souffle (on en a pourtant bien besoin). Un calme jamais vu. Et une fois encore une expérience cycliste unique au monde. A faire ! Mais réservé aux cyclistes entraînés. Ou propulsés : les résultats Strava confirment ce que m'a annoncé le barman au sommet, étonné de me voir arriver en "route" : l'essentiel des courageux ne comptent pas que sur leur muscles pour grimper. Vive le VAE. (hum).



Conseil #1 : adaptez votre cassette ! Mon 34x28 était HORRIBLE. J'ai lutté... pour ne pas mettre pied à terre ! 58 min pour les 7 derniers km. Cela donne une idée.



Conseil #2 : prévoyez de pouvoir vous couvrir à la descente. Le col accroche les nuages. Le brouillard s'invite facilement même lors de belles journées. Avec le vent, il fait facilement froid, les 10°C m'ont paru beaucoup moins avec l'humidité et la fatigue en plein mois de juillet.



Conseil #3 : attention aux bidons. Pas beaucoup de fontaines identifiées en chemin. Et c'est long. Heureusement une buvette au sommet "ouverte 7j/7" (mais qui ferme à 18:00).



Conseil #4 : ne tenez pas compte des % moyens indiqués. Les derniers km à 7 et 9% ? C'est vrai... mais c'est faux. 2/3 replats qui faussent juste les stats. C'est un mur. Presque toujours au delà de 12/13%. Ne pensez surtout pas avoir un répit sur la fin !



Conseil #5 : évitez les 4kg de trop (c'est mon cas, merci le confinement). Le jour de l'ascension, vous les payez cash, tous les mètres.
02:22:40 • Bernard M • Commentaire publié le 03/07/2020
En semaine penser aux nombreux camions entre Brides et Méribel, il y en a eu moins de ce coté ci du col que par Courchevel. Les grandes stations de ski sont des chantiers permanents en été qui écorchent le paysage. Présence de pelleteuses en plein travail au col lui même. Penser aussi que la partie, soit disant réservée aux cyclos, est, à l'origine, une piste pour engins reliant entre eux les différents accès aux pistes de ski, aux remontées mécaniques, et aux restos d'altitude. Le revêtement a beau être excellent, la piste reste une piste, une sorte d'escalier qui alterne des passages super raides avec des petits replats. Indiquer alors une pente moyenne par km perd son sens. Malgré mon 34X32 et debout sur les pédales j'ai mis 2 fois pied à terre. Montée de peu d'intérêt pour un retraité comme moi (68 ans). Si poussé par votre curiosité (comme moi), vous tenez malgré tout à faire ce col privilégiez l'autre coté. Plus de camions mais moins de coups de cul.
02:05:00 • Matthis D • Commentaire publié le 22/02/2024
Montée lors de l'étape 17 du Tour de France 2023 (j'ai suivi le tracé des coureurs) 1ère partie jusqu'à Courchevel assez simple (pente à 6-7%), il y avait une petite descente et on attaqué réellement le la Loze.

C'est une purge les ruptures de pentes ont eu mes jambes et je n'ai pu faire que 24 des 28km prévu... Les temps de récupérations entre chaque mur était trop court pour la forme du moment et le braquet que j'avais (34x28). Je retenterais ma chance une autre fois pour arriver jusqu'en haut !!


02:29:00 • David P • Commentaire publié le 26/08/2020
Le col de la Loze ! (via Méribel)... "Escalade" faite !!! :-)



Un truc de malade, si les 14 premiers km sont classiques (rien d'extraordinaire), les 7 derniers km sont atypiques et le transforment en un col unique !



Plus difficile que le Mont Ventoux, ma référence, et toujours mon préféré <3



Ceci avec des ruptures de pentes incessantes et de montreuses rampes à plus de 15-20% (24% au max dans cette succession de murs), un casse-pattes ininterrompu de 7 km terribles. C'est un développement de VTT qu'il faut prendre !



Il ne faut pas trop tenir compte de la pente moyenne sur les bornes ou profils qui indiquent du 11%-12% car les faux plats à 8-9% donnent juste une idée de ce qui va arriver pour atteindre ces moyennes ! (si on n'est pas déjà dedans :-p)



La route est un ruban d'asphalte parfait réservé aux Cyclistes :-D, VTT de descente ou VAE qui rompaient un peu ma solitude sur cette ascension... après coup je comprends mieux pourquoi j'étais bien seul sur ce versant à escalader ce col, sous un soleil magnifique, et une chaleur extrême à +40°C, heureusement au somment on en perd une vingtaine... de °C, voir qqs L ? (Il faut prévoir de grands bidons pour toute la montée)



Malgré tout, cette expérience est juste fantastique ! Le final à découvert est magnifique et la vue panoramique au sommet est extraordinaire, avec le Mont Blanc en toile de fond !



Mon pronostique, pour cette étape au tour de France 2020 ? Une boucherie...



En tout cas, LE COL DE LA LOZE (via Méribel) avec son final à la fois monstrueux et magnifique, aura un avant et un après 16 septembre 2020. On ne se souviendra probablement pas de la date, mais son nom résonnera dans les esprits (voir plus encore) comme le nom d'un col mythique tel que le Tourmallet ou Mont Ventoux !
02:27:00 • Jean-marc N • Commentaire publié le 26/09/2021
02:12 si j'enlève les 15 min de pose au rond point des pistes, pose que j'ai bien fait de prendre !

Montée de col relativement classique de Brides les Bains jusqu'à Méribel. Dans Méribel suivre la direction "Rond point des pistes" : c'est à ce rond point que commence la piste cyclable qui méne au col.

Le 25 septembre 2021, l'état de la piste était excellent, bien meilleur que la route dans Méribel qui est pas mal abimée par tous les travaux. La descente par Courchevel est de bonne qualité et permet un retour sur Brides les Bains aprés une boucle d'environ 48 kms.

Bon sinon, grace à un gravel avec un braquet mini de 30/34 c'est passé pour moi ....
00:44:12 • Romain G • Commentaire publié le 26/09/2022
Temps enregistré depuis Méribel.

Col inventé de toute pièce (topographiquement cela n'est pas un col) mais extrement difficile
01:45:00 • Damien P • Commentaire publié le 25/08/2022
Le redoutable, avec ses rampes successives dans les 7 derniers km. On peut les voir la plupart de loin, et certaines sont effrayantes... Fait en 4e vitesse en août 2021 avec un train à prendre à la gare de Moutiers.
01:17:00 • Chasseurdecols74 M • Commentaire publié le 19/09/2022
Col réalisé avec Emma le 08/08/22 en partant de Méribel, soit environ 12km.



Il s'agit là d'un col unique, une piste cyclable qui nous emmène à 2300m, génial !



Vraiment dur en revanche, je l'ai fais au rythme de ma copine donc ça allait pour ma part, mais elle... Elle a carrément pleuré ;-)



Le mur le plus dur selon moi est celui aux alentours de 3km avant l'arrivée (là où elle à pleuré).

Le dernier mur aussi est lui terrible.



Je félicite tout de même Emma qui a réussi à aller jusqu'au bout malgré deux pieds à terre. La descente sur Courchevel est bien engagée aussi, avec un petit coup de cul qui tape.
00:00:02 • Philippe M • Commentaire publié le 18/06/2023
Bonjour à tous



Grimpe le samedi 17 juin entre 9h et 11h



Honnêtement les 14 1ers kms ressemblent a un col classique mais apres je n ai eprouve aucun plaisir sur cette montee infernale



On dit toujours en alpinisme grimper c est beau mais redescendre c est risque. Je dirai la meme chose



En montant on se concentre sur les murs. En descendant on est concentré sur les dangers



A déconseiller a ceux qui ont peur en descente
00:00:00 • lucas • Commentaire publié le 16/08/2020
6 derniers km très durs
00:00:00 • Koenig • Commentaire publié le 16/07/2020
Effectué en descente après avoir fait le versant Courchevel.



Parcours assez régulièrement dur jusqu'au 7 derniers km sur piste cyclable où cela devient très (mais vraiment très) irrégulier et plus pentu en moyenne donc très dur. Des replats et de nombreux murs/coups de cul jusqu'à 20%, et quelques virages démentiels: il faut s'accrocher. Du km 17,5 à 20,5 la moyenne est supérieure à 11%.



Vous serez mis à l'épreuve comme nulle part au dessus de 2000m. Personnellement ça me plaît.
00:00:00 • albrix • Commentaire publié le 07/07/2021
Un véritable exercice ! L'une des routes les plus raides que j'ai pu faire, à partir de Méribel.Cadre magnifique, route étroite, de longues portions verticales et sans répit ! L'objectif dans un tel col est de ne pas poser le pied !
00:00:00 • Guilhem L • Commentaire publié le 08/07/2020
Bienvenue chez Disney.

Le col de la Loze n'est qu'une grosse opération de communication d'une petite station d'altitude (10 kms de long environ) reliant 2 vallées défoncées par l'homme.

Ça commence par des camions (1 par minute environ), puis un passage dans une ville très long, avant d'arriver sur une belle route placée entre les poteaux des remontées mécaniques.

Seul intérêt pour le cycliste: la vue sur le Mont Blanc en haut (quand on arrive à se faufiler entre une pelleteuse et une gare téléphérique).

Allez plutôt voir du côté de Pralognan si vous êtes dans le coin.
00:00:00 • Boris L • Commentaire publié le 30/07/2020
Eh bien... tout a déjà été dit sur ce "petit" nouveau ! Et tout est juste, puisque vécu: les camions, la montagne massacrée, cette incroyable piste de ski transformée en langue de bitume 5*, la longueur et la difficulté, j'adore et je déteste... Pas encore franchi par le Tour mais déjà mythique !



J'ai apprécié l'avis exhaustif de Guillaume.



Content d'avoir 30 dents derrière, mais j'imagine à peine ce que sont le Mortirolo, Zoncolan et Angliru...Car ici les coups de cul laissent place à de petites récup' entre deux murs. Faut s'accrocher, et le sommet procure évidemment un sentiment de fierté. Joie du jour: le visage radieux des "collègues" au sommet. Déception du jour: pas de vue sur le Mt-Blanc ! Assisté ou pas, il marque la mémoire. Si je reviendrai ? Pour du ski assurément, ou d'autres ascensions dont la région semble receler.
00:00:00 • Cédric J • Commentaire publié le 16/08/2020
"escaladé" en août 2020 avant le passage du tour.

Un truc de malade, à faire absolument, tôt le matin pour éviter le flot incessant de VAE .
00:00:00 • Rodrigue M • Commentaire publié le 23/08/2020
Dur dur...

3,4 premiers km difficiles après Brides puis après c'est régulier jusqu'au Rond Point des pistes,où on quitte la route pour entrer dans le domaine skiable et emprunter ce nouveau tracé bitumé à même les pistes...

7km d'enfer,a base de successions de murs abominables de 20% mais le jeu en vaut la chandelle
00:00:00 • Polak E • Commentaire publié le 23/08/2024
Le versant le plus dur. La montée jusqu’à Meribel est soutenue et peu plaisante, en raison de l’absence de points de vue et de la circulation conséquente. Une fois sur la piste cyclable, on pense souffler un coup avec les replats qui se présentent, mais les pentes qui suivent sont extrêmement raides. Malgré la vue très plaisante sur la vallée et les sommets de Meribel, les dernières pentes sont interminables et notamment la dernière.
00:00:00 • Sebastien D • Commentaire publié le 26/10/2020
Montée vraiment atypique sur les 7 derniers kilomètres.

Attention à ne pas se mettre en sur-régime sur les raidards. En 34x28, moins, ça aurait été un peu fin
00:00:00 • Pierre-joseph G • Commentaire publié le 29/08/2021
Le moins qu'on puisse dire, en lisant les commentaires déjà publiés, est que ce col déchaine les passions ! Deux ans après avoir escaladé le versant Courchevel, je me lance sur le versant Méribel, cette fois-ci en compagnie de mon ami Dominique qui l'a déjà gravi deux fois. Nous partons de Salins-les-Thermes, et nous subissons tout d'abord l'intensité du trafic liée aux chantiers en cours dans toutes les stations de la vallée. Passée la bifurcation de Brides-les-Bains, la circulation se fait moins intense, mais la pente plus ardue avec un 8% constant jusqu'au village des Allues. Les cinq kilomètres suivants jusqu'à Méribel nous permettent de goûter à une montée plus facile avant de découvrir les célèbres chalets qui s'étagent sur la pente. Encore quelques kilomètres exigeants et nous voici à Méribel 1600, porte d'entrée de la nouvelle route déjà qualifiée de tous les superlatifs quant à sa difficulté. Je préfère ne pas savoir ce qui m'attend. Ainsi, je prendrai chaque mur comme il viendra, et si je dois poser pied à terre, tant pis. Je monte à ma main, et bien vite, je rencontre le premier escalier. Ça passe. Plusieurs fois nous croisons des pistes VTT, avec des panneaux d'alerte. Second escalier. Je suis bien parti, un VAE me dépasse et cale aussitôt après. Craignant la collision, je m'arrête. Le virage passé, je remonte en selle. Me voici à proximité du télésiège de l'altiport. Je vois le final du col. Ça promet un rude effort. En effet, après un agréable replat, la pente se redresse subitement avant de bifurquer à gauche. Aïe ! Aïe ! Aïe ! Ça devient impossible de pédaler à un tel rythme et de tenir plus longtemps. Je préfère poursuivre à pied. Une centaine de mètres plus loin, je remonte en selle, cette fois bien décidé à aller jusqu'en haut sur mon vélo. La route fleurie d'épilobes file droit, mais avec une série de cascades plus ou moins accentuées. Et voici les célébrissimes 20 % de la fin. Passera ? Passera pas ? Je m'en fou. Dans deux minutes je serai en haut. Je cale au milieu du mur. Je repars aussitôt que je le peux. Dominique arrive. Il n'a pas posé le pied à terre. Comment fait-il pour monter avec une telle assurance ? Nous voici face au Grand Bec (3398 m) et la Grande Casse et son glacier, plus haut sommet de la Vanoise (3855 m). Il n'y a pas que les remontées mécaniques dans le paysage. Sachons apprécier la majesté des montagnes proches ou lointaines. L'effort fourni nous offre au moins ce plaisir !
00:00:00 • Theo C • Commentaire publié le 20/09/2019
Montée faite le jour de repos du tour de l'avenir avec l'équipe d'équateur jusqu'à méribel. Jusque là, la pente ne dépasse pas les 10% et est assez régulière, en revanche, tout comme sur l'autre versant, les 7 derniers km sur la piste cyclable sont très irrégulier, mais à 10% de moyenne, ce qui donne de nombreuses rampes à 15% et 2 passages à plus de 20 %
00:00:00 • Christian C • Commentaire publié le 27/06/2022
Col très irrégulier mais toujours dans des pourcentages costauds. La dernière rampe est impressionnante

. Vaut mieux être en forme avec braquets adaptés. A faire une fois pour dire que...
00:00:00 • Matthias P • Commentaire publié le 23/07/2022
Long puis horrible
00:00:00 • Claude P • Commentaire publié le 26/03/2022
Col de la Loze ou col de la loose ?



Je plaisante bien sûr, mais...



J'ai monté ce col en août 2016 depuis Brides les Bains, alors qu'il n 'était pas encore goudronné. Ceci avec un simple VTC qui n'accrochait pas trop dans les parties les plus dures où le ravinement laisse surtout du gravier et de la caillasse qui roule sous les pneus. J'ai donc dû pousser la machine dans les zones où la piste se redresse sauvagement. L'important pour moi étant d'arriver au sommet (j'appartiens au Club des 100 Cols), je grimpe à mon rythme, en ménageant mon physique pas extraordinaire et mes vieilles jambes (je suis né en 1949).



A l'époque la partie réservée en forêt à la sortie de Méribel n'existait pas. Je suis d'abord monté jusqu'à l'altiport, mais pas par la route directe, par Courchevel-la-Praz puis une petite route forestière vers La Tania, à la recherche d'un petit col (le Pas des Cotilles). A partir de l'altiport c'était des pistes en terre jusqu'au col de la Loze, rejoignant le parcours actuel à la gare d'arrivée du télécabine des Rhodos.



Quand la commune de Méribel a décidé d'offrir cette nouvelle arrivée aménagée au Tour de France j'ai eu envie de renouveler l'ascension, me demandant si avec une meilleure accroche de mes roues j'aurais la puissance pour tout faire sur le vélo.



Donc le 8 août 2020 je me lance sur le parcours direct Brides – Les Allues – Méribel – piste réservée aux vélos. Je fais 1 ou 2 arrêts avant d'attaquer le dur à la sortie de Méribel. Dans le nouveau parcours dans la forêt je passe de justesse chacune de ces rampes invraisemblables. J'arrive vers le télécabine des Rhodos avec des premiers symptômes de crampes. J'insiste quand même, fais quelques pauses, mais finis par renoncer, vu ce qui reste à faire c'est plus sage.



 Le 8 août 2021, un an exactement après, je remet ça. Cette fois je dose mieux mon effort, bois plus, m'arrête plus souvent. Ça passe, toujours sur le vélo même dans les rampes les plus raides. Je suis à 500 m du sommet et ça va toujours... sauf que ma roue avant vient de se dégonfler.



Arrêt forcé au bord de la piste, dans le gravier. Je démonte la roue, change la chambre à air. Mais la nouvelle chambre ne garde pas la pression et se dégonfle très vite. J'avais déjà rencontré des problèmes similaires. Mon vélociste avait diagnostiqué un problème de fond de jante en mauvais état.



Je renonce à essayer de réparer, gonfle modérément en espérant garder un peu d'air jusqu'au sommet. Espoir vite déçu, je continue quand même, jante sur le pneu écrasé. Je me vois encore dans le final, à 50 m du sommet, à l'agonie, faisant non de la tête au photographe du coin me tendant un ticket. Mais je suis arrivé sur le vélo.



Et il m'a bien fallu redescendre, après quelques essais de regonflage inutiles, par le côté Courchevel, jusqu'à Brides, avec cette roue à plat, en freinant principalement de l'arrière pour ne pas aller trop vite (27 kms).



Le vélociste de Moutiers m'a plus tard expliqué qu'un démonte pneu portait bien son nom et que le remontage se faisait uniquement à la main. Je ferai mieux la prochaine fois, il est bien possible que j'ai pincé la chambre au remontage mais en fait je n'en sais rien.



En tout cas c'est un col intéressant à faire...
00:00:00 • Francois S • Commentaire publié le 24/07/2022
Pas de chance ... je suis monté depuis Brides les bains et Courchevel le jour du festival des bikers .... 20'000 motos sur la route !!!! Heureusement après Courchevel, c'était plus calme... surtout aprés la barrière de la ferme Pralong. Paysages extraordinaires... tout comme certains pourcentages !!!... il faut vraiment avoir des réssources pour les passer à plus de 2000m d'altitude. Un col long et dur mais quel beau souvenir.
00:00:00 • Damien C • Commentaire publié le 29/10/2024
Ascension réalisée le 28 octobre : grand soleil, 18° au sommet!

Les 15 premiers km ne sont pas agréables, route très fréquentée par les camions et camionnettes d'artisans qui travaillent dans le village (qui ressemble plus d'ailleurs à une agglomération urbaine avec ses grands parkings et ses immeubles, qu'à un village de montagne).

A la sortie de Méribel (7 derniers km), on emprunte une magnifique piste cyclable bien vallonnée (pente irrégulière), plus aucune voiture à proximité. On alterne entre portions plus ou moins roulantes et passages à 15-20%, brefs mais intenses!!!

Cette dernière partie, atypique, réussit à elle seule à faire oublier les 15 premiers km sans réel intérêt.
01:31:55 • mishtrouf • Commentaire publié le 08/09/2020
00:00:00 • Tanguy C • Commentaire publié le 23/08/2021
00:00:00 • Chill H • Commentaire publié le 03/11/2024
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