Informations
Nom : | Col du Sanetsch |
Altitude : | 2251 m |
Départ : | Sion |
Longueur : | 29.00 km |
Dénivellation : | 1743 m |
% Moyen : | 6.01% |
% Maximal : | 8.7% |
Massif : | Alpes bernoises, Suisse |
Carte
02:16:00 • Florent LIGNEY (webmaster)
J'ai effectué la montée non pas depuis Sion mais depuis le "Pont de la Morgue", qui rejoint l'itinéraire de Sion peu après le pont du diable.



ATTENTION : cette montée est très exigeante et nécessite une parfaite forme physique, de l'entraînement, et des braquets adaptés : la pente est constante et à la longue fait très très mal !



La montée se déroule sur une route mal goudronnée. Au début la route est relativement large (elle permet à deux voitures de se croiser) mais se resserre au fil des kilomètres pour n'offrir plus qu'une seule voie au cours des 10 derniers km.

Cette montée présente des pentes assez irrégulières : parfois on monte pendant 500m à plus de 10% avant que la pente ne se calme jusqu'au prochain "mur" ... parfois on monte 2km consécutifs sur une pente ne variant absolument pas !



Au cours de la montée on passe sous 3 tunnels : le premier est très court (20m), le second un peu plus long (50m) et le dernier semble interminable : je pense qu'il doit faire environ 800m ... du jamais vu pour ma part !



J'ai effectué un très grand nombre de cols en France, plus quelques cols en Suisse, en Espagne et en Italie, mais je pense qu'il s'agit du col le plus dur que j'ai fait jusqu'à présent !
02:50:00 • jgcarlier
Montee tres longue et tres dure surtout quand le petit plateau ne fonctionne plus ... arrivee apres 2h50 au bord des crampes ...
03:00:00 • Marc D • Commentaire publié le 02/09/2015
Montée effectuée depuis Monthey le 29/08/2015 sous la canicule (30 ° et plus au depart)



C'est l'ascension la plus dure que j'ai realisée. 26-27 km de montée. Je n'ai pas vu beaucoup de passages pour récupérer. Paysage grandiose...contrairement à ma performance :-) et découverte de mon premier glacier.



Le moins dur est le début (dans les vignes). Ensuite il y a les 20 derniers kilomètres...



Le grand tunnel est effectivement (bien) éclairé. A faire si on est en très bonne condition.



Merci à Anne pour les encouragements
01:58:00 • loic86
je tiens à relativiser les commentaires précédents.le col est long, certe, mais pas si dur et il y a quelques replats pour faire tourner les jambes.en ce qui me concerne, moins de 2h avec un 36x25 mais quasi jamais sur le 25.Je ne suis pas énormement entrainé (2000 Km cette année car chute cette hiver)et pourtant, pas de difficulté dans l'ascension. En revanche, la descente fût un vrai calvaire car à peine en haut, les nuages sont arrivés comme un cheval au galop.Resultat: de la pluie jusqu'à sion,aucune visibilité sur 10 km et arrivée au bord de l'hyppothermie.Mais ça valait le coup.Par contre, quand il a plût,prendre par conthey car par saviése, aprés chandolin,la route est trés sale en raison des chutes de pierres et des saletés que l'eau transporte, ce qui n'est pas le cas par Conthey.
remonté le 18/07/12 en 01h51:2 infos en plus.le tunnel final est éclairé (mais humide) et après chandolin, on ne trouve plus de fontaine donc prévoir en conséquence.
03:03:00 • oran • Commentaire publié le 19/10/2017
un must ;

long (très), pentu, haut, avec un décor magnifique et très "haute montagne" et sauvage sur la fin, peu de circulation

la route est en cul-de-sac et devrait le rester

vraiment du grand vélo ;
01:56:00 • Mojito70
(gravi par Pont-de-la-Morge) Col atypique pour la Suisse: très long (25 km, +1880 m) et relativement sauvage. Les pourcentages sont assez irréguliers et on passe de la ville à la "haute" montagne sur une route d'exploitation. Le tunnel de 800 m est bien éclairé, mais le revêtement est limite juste après la sortie.
La descente vers le barrage vaut la peine (ça évite de faire demi-tour au col même). La liaison avec Gsteig en téléphérique est simple et permet de faire un joli itinéraire (cols du Pillon et de la Croix pour compléter, par exemple)
02:17:00 • Pascal C • Commentaire publié le 11/07/2016
effectué depuis Conthey, en passant pas Saviese
02:28:12 • Michel G • Commentaire publié le 21/10/2017
Ce col est exceptionnel ça fait longtemps que je rêvais de le monter et je n'ai pas été déçu. On part du centre ville de Sion pour 27 km et 1800 m de D+ pour arriver au pied d'un glacier. La large route du départ fait vite place à un petit chemin forestier qui ce rétréci au fil des kilomètres. Après la descente de Chandolin c'est raide jusqu'au sommet et long très long presque interminable. on traverse plusieurs tunnels heureusement bien éclairés à priori depuis peu, le dernier est long 800 m et la chaussée est dégradée sur queques centaines de mètres à la sortie. J'ai eu la chance en ce 17/10/17 d'avoir des conditions exceptionnelles pas un nuage, pas de vent et plus de 20° au sommet. J'ai savouré un long moment cette vue extraordinaire un grand souvenir.
02:30:00 • Pierre P • Commentaire publié le 19/09/2018
Col costaud, très soutenu et long. Le franchir est plus une affaire de gestion de l'effort que de forme : si on accepte de monter pépère, tout se passe très bien.

Belle ambiance de haute montagne dès la sortie des lacets au-dessus de l'auberge de Tsanfleuron.

En septembre 2018, le revêtement est très bon, à part à la sortie de Chandolin jusqu'à la jonction avec la route montant de Conthey, mais ce n'est pas un champ labouré pour autant, il ne faut rien exagérer ; idem pour la sortie du long tunnel : 100 m de route non goudronnée sur 30 km, faut pas se plaindre.

En revanche le descriptif est trompeur : il y a de nombreux et relativement longs tronçons à plus de 9 %.

Pour le reste, que du bonheur : très faible circulation, météo de rêve, paysages sublime. Je suis descendu avec le téléphérique sur Gsteig, puis enchaîné avec le col du Pillon et descendu sur Aigle.

A propos du téléphérique : il fonctionne de mi-juin à fin octobre, la descente est à 15 Frs (abo. demi tarif accepté) et le transport du vélo coûte 6 Frs.
02:37:08 • Robert S • Commentaire publié le 17/09/2021
Fait le samedi 11 septembre 2021 depuis la gare de Sion. La première partie, qui monte à Savièse est très roulante sur une route assez fréquentée. C'est après la courte descente dans les gorges de la Morge que la montée du col débute véritablement. Au début assez pentue jusqu'au Pont du Diable, la route revient sur des grades plus agréables et ça monte bien jusqu'à l'auberge de Zanfleuron, à env. 1400m. Après Zanfleuron, la route devient plus étroite et monte en lacets, avec quelques passages assez raides. Aucun répit jusqu'au deux tunnels (alt. 1960m). Après les tunnels (le second de 800m de long est bien éclairé et le revêtement a visiblement été refait), il reste que quelques kilomètres mais ils sont "mal plats" et ils épuisent les dernières forces... Heureusement que le spectacle de haute montagne est là et impose plusieurs pauses-photo ! Même si la route est en cul-de-sac, il faut savoir qu'il y a quand même pas mal de monde qui monte là-haut le week-end pour se balader - et il y a aussi le car postal qui y va. Ceci dit il y a quand même beaucoup moins de trafic qu'un col des Alpes classique. Arrivé au sommet du col (qu'on ne voit qu'au dernier moment...), je conseille de redescendre sur le magnifique Lac de Sénin et de se restaurer à l'Auberge du Sanetech qui est littéralement à la fin de la route. Ensuite je suis descendu du côté Oberland bernois avec le petit téléphérique. En résumé : un col certes exigeant mais peu connu, qui permet en quelques heures de passer de la ville à la haute-montagne, avec finalement beaucoup d'options pour redescendre (le car postal en étant une).
02:20:00 • Cyrille S • Commentaire publié le 25/10/2018
Un col absolument superbe et une montée très exigeante, longue et très irrégulière.




03:15:00 • Frédéric E • Commentaire publié le 24/09/2022
On ne sait pas si c’est une montée grandiose mais difficile ou difficile mais grandiose. En tout cas un inoubliable moment de vélo en montagne, dans de beaux paysages. C’était mon 3ème SANETCH mais le 1er avec un vrai grand beau temps. Je vous recommande de partir de Conthey plutôt que de Sion, plus bucolique et tranquille.



Gardez-en bien sous la pédale car après l’auberge du Tsanfleuron, à 1 500 m, çà devient vraiment dur. Là-haut le tunnel est éclairé mais c’est assez moyen donc ayez votre propre éclairage.



Un peu en-dessous du col, l’auberge du Sanetch vous propose une belle terrasse et entre autres un croûte au fromage (fromage ultra-local).
02:44:30 • Paride C • Commentaire publié le 13/06/2020
Une des plus belles et difficiles montées en Valais. Dommage qu'on ne puisse pas faire une boucle :-)
00:00:00 • CYCLOHC
Effectivement, le dernier tunnel est très long, et en courbe : donc nuit noire ! prévoir éclairage.

En VTT, classique mais très technique voire dangereuse, la descente nord rejoint Gsteig par un sentier vertigineux, soyez très prudents car à certains endroits une chute serait fatale !

Par contre, pour les routiers "goudron", arrivé au barrage 5 kms après le col, il se fait régulièrement, au coeur de l'été, de redescendre par le téléphérique sur Gsteig; cela permet de faire un enchainement par le Col du Pillon, voire d'ajouter le Col de la Croix (plus agréable que la descente directe par Diablerets - Sepey - Aigle, à cause de la circulation). Se renseigner auparavant à l'O.T. de Gsteig.
00:00:00 • hopschweiz
A noter que ce col exigeant et magnifique est un cul-de-sac. On ne peut pas descendre de l'autre côté en voiture : d'où l'avantage de n'avoir pas trop de circulation.

A vélo par contre, je conseille de descendre en téléphérique jusqu'à Gsteig (on peut accrocher les vélos), et de remonter ensuite le col du Pillon pour redescendre sur Aigle.

Une belle journée...
00:00:00 • kangooman
Un col absolument magnifique et sacrément long !!!



Je l'ai attaqué depuis Conthey. Son profil ne correspond pas à celui de Sion.

 Belle entame dans les vignes avec des pentes à 8% parfois. Ensuite , c'est une partie forestière avec ce terrible passsage court mais coriace au niveau de l'auberge.



A partir de 1500m, la route se débarasse de la végétation et on arpente les lacets sous le massif du WildHorn (les rayons du soleil sur sa peau le soir, sont à tomber par terre...).



Le long tunnel rafraîchit bien le moteur ( attention, il est en courbe et vous serez dans le noir complet. C'était en juillet 2012). Et le bouquet final, c'est le glacier sur la gauche et le décor totalement atypique avec une cabane qui m'a permit d'être abrité de l'orage. Les couleurs étaient sublimes, il était environ 20 heures.



ENORME SOUVENIR.
00:00:00 • JFK
C'est une longue montée sur une petite route. Il faisait très chaud lors de l'ascension (encore 24° au sommet du col) mais les paysages sont magnifiques. La fin, depuis le long tunnel, semble interminable.
00:00:00 • cyclo53
Départ	Pont-de-la-Morge (Conthey VS) ou Sion VS ou 
Longueur	29 km
Itinéraire	Depuis Pont-de-la-Morge: Suivre les panneaux \\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\"Sanetsch\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\" par Saint-Séverin, Sensine, Les Nés.
Depuis Sion: Suivre La Muraz, Saint-Germain.
Et le plus dur directement prendre la montée de Vuisse pour arriver à Chandolin 
Les trois itinéraires se rejoignent au tiers de la montée environ. Suivre tout droit (de toutes façons il n\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\'y a pas le choix...).
Note pour les utilisateurs de cartes Michelin: L\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\'itinéraire par Pont-de-la-Morge est représenté comme un chemin au-delà des Nés sur certaines éditions, ce qui est faux, c\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\'est bien une bonne route goudronnée...
Dénivelé	1744 m
Pente maximale	15%
Catégorie (TDF)	Hors Catégorie (s\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\'il venait à le franchir)
Etat de la route	Bon, tunnel pavé.
Paysage	*****
J?habite en Valais à Chandolin-Sàvièse j?ai déjà fait pas mal de cols durs en France mais je peux vous dire que cette montée s?adresse vraiment a de très bons cyclistes ayant un très bon entrainement 
Depuis Pont-de-la-Morge, la route commence d\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\'abord par suivre la rivière (La Morge) en léger faux-plat montant, avant d\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\'obliquer sur la gauche et de se redresser brutalement. On traverse alors les vignobles du Valais implantés sur l\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\'adret de la vallée; or qui dit vignoble dit pas d\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\'ombre, et qui dit pas d\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\'ombre et pente orientée au sud dit gros cagnard en plein été. Attention donc au coup de chaleur. Heureusement des fontaines sont disponibles, en particulier une perdue à gauche de la route, en plein vignoble, après 3 km de montée environ, qui distille une eau très fraîche et très appréciable. Puis la route traverse un certain nombre de villages, toujours en pente assez forte avec des lacets assez raides, jusqu\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\'au Nés, où la route s\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\'aplanit franchement avant de rejoindre l\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\'itinéraire par Sion. 
Depuis Sion, on commence également à s\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\'élever au-dessus de la ville et on atteint assez rapidement le vignoble (même remarque que ci-dessus). La pente monte de manière moins soutenue de ce côté, jusqu?a Saint-Germain ensuite direction Chandolin?sur-Savièse où la route redescend vers la vallée de la Morge pour passer un petit tunnel puis la rivière et remonte sévèrement ensuite passé 10% Cette petite descente saura se rappeler au bon souvenir du cycliste au retour :o) La route depuis Pont-de-la-Morge vient se greffer ensuite sur la gauche et rejoins l?autre itinéraire. 
Passée cette intersection, la montée devient beaucoup plus sévère, dans un décor magnifique ou l?on peut observer les passerelles du bisse du Torrent Neuf en face, avec une pente relativement régulière et forte avant d?arriver à Plan Cernet ou un petite bosse à 15% nous attend Toujours en forêt, la route continue sa progression avant de franchir la rivière une nouvelle fois puis un petit tunnel et la arrive alors le passage le plus impressionnant de l\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\'ascension, où la route s\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\'élève littéralement avec des lacets construits les uns sur les autres, avec une forte pente atteignant par endroits les 10%. La vue est impressionnante depuis la route un peu plus loin, puisqu\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\'on contourne une espèce de petit cirque. La route continue à s\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\'élever, toujours en forte pente, en lacets jusqu?au tunnel de 800 mètres à traverser éclairé par des panneaux solaires à l?entrée pour ma part j?ai attendu une voiture pour m?éclairer (attention en plus au revêtement derniers 100 mètres pavés dans le tunnel). À la sortie la route s\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\'élève encore sur 3 km dans un paysage devenant plus rocailleux, laissant sur sa gauche le glacier du Sanetsch. Arrivé au col 2251 m, il faut se laisser glisser jusqu\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\'au barrage pour trouver de quoi se ravitailler car les 4km doivent être gravis dans l?autre sens pour remonter car c?est un col cul de sac 

00:00:00 • Sapin25 • Commentaire publié le 21/09/2014
Ah, quel souvenir !!!

Août 2014, après 5 jours de "grimpette", je me faufile dans la vallée à sa rencontre, un rêve de gosse en quelque sorte !

Mais dans cette fameuse vallée du Rhône, une douleur rotulienne vient me gâcher mes vacances et ce si beau moment.

Limite à l'abandon sur les pente du vignoble de Chamosson !

Je me force quand même à rejoindre Conthey (pied du col).

J'enfile les premiers km dans la douleur, mais elle devient passable (quoique très gênante) au abords de l'embranchement de la route de Savièse.

Le bonheur de faire ce col me permettra de grimper quand même jusqu'au sommet. Hourra ;)

J'y suit allé au courage, mais ce col est tellement grandiose à mes yeux.

Il est parfait, il y a de touts: route tranquille, mélèzes, alpages, vues, ponts, tunnels dont le fameux de 800 m éclairé (un must), etc,...

A faire au moins une fois dans sa vie de cyclo (j'y reviendrai plusieurs fois) !!!

Les nombreuses photos montrent à quel point ce col est splendide !

Je ne l'oublierai jamais...
00:00:00 • un3x1s7
Je l'ai gravi depuis Conthey, seul les premiers kilomètres sont différents. Col long et relativement régulier. Très peu de trafic puisque c'est une impasse, c'est donc un lieu rêvé pour les cyclistes.
00:00:00 • Daniel V • Commentaire publié le 06/08/2017
Fait il y a longtemps à VTT dans le cadre d'un tour de plusieurs jours dans la région des Alpes vaudoises et fribourgeoises. La montée était longue et fatiguante...

Ce col en cul-de-sac est dans mon programme pour la saison prochaine, en combinant une descente en téléphérique sur Gsteig (côté nord) avec un retour dans la vallée du Rhône par un des cols vaudois (Pillon, Croix,...).
00:00:00 • Boris L • Commentaire publié le 22/07/2020
Une montée à ne pas louper, un must alpin, mais en cul de sac. Fait le tour en descendant avec la cabine de l'autre côté, retour par le col du Pillon et de la Croix (boucle de 130km env.). Je n'ai malheureusement pas bien apprécié les beautés de la nature ce jour-là, dans une forme de...rien, complètement à la ramasse depuis le dernier bistrot de Tsanfleuron, soit dès la moitié, long calvaire comme j'en ai rarement vécu. Panorama dans les derniers km d'une rare beauté, on arrive juste à côté du glacier des Diablerets. Ai pu me restaurer avant le sommet et recharger les batteries pour la fin du tour. Comme déjà décrit, il faut bien gérer la longueur, la chaleur et les % qui m'ont semblé plus marqués que la couleur bleue, sur de nombreux km !
00:00:00 • Pierre-joseph G • Commentaire publié le 29/04/2021
Je ne peux pas oublier le bonheur que m'a procuré ce col qui est parmi les plus majestueux que j'ai gravis. Mais je ne peux pas non plus oublier la souffrance qu'il m'a infligée pour atteindre son sommet. C'était un jour de fête nationale helvétique et il y avait un nombre de voitures sans doute inhabituel sur ces pentes exposées au vide. Sur une route où on croise difficilement, le petit cycliste finit par s'épuiser à prendre garde de ne pas se faire renverser, alors qu'il aurait tant voulu pouvoir exercer sa vigilance à la seule contemplation des cimes...

Nous étions partis de St Maurice et nous avions remonté la vallée du Rhône jusqu’un peu avant Sion. Avec le vent dans le nez, ce fut une excellente mise en jambes avant de s'engager dans la vallée de la Morge qui est aussi le départ pour Derborence. Mais très vite, il faut bifurquer sur la droite et grimper dans le vignoble. Il ne reste que 23 km d'ascension ! Des kilomètres qui vont me paraître interminables. La partie forestière, après avoir traversé les villages du piémont, est extrêmement ardue et quelque peu obscure. Je commençai à flancher et nous décidâmes de l'arrêt pique-nique à côté d'un pont, peu avant Visse. Il y avait un chalet non loin, avec tout ce qu'il faut de drapeaux, et de musique pour fêter dignement ce 1er août.

La reprise fut délicate. Je mettais toute ma bonne volonté pour pédaler au meilleur rythme, mais Julien montait bien plus vite que moi. Je finis tout de même par émerger près des sommets et ce fut un éblouissement rare. Je crois que jamais encore je n'avais grimpé ainsi, aussi près des glaciers. J'en étais comme amenuisé. Si petit face à ces parois étincelantes. Des crampes finirent par me saisir alors que j'abordais le premier tunnel. Sous les voutes humides, je n'étais guère rassuré en entendant une auto approcher. Dans l’obscurité du second, il me fut impossible d’éviter les nids de poule, et je ressortis tout boueux de cet antre tortueux et humide où souffle un air glacé. Heureusement, la délivrance du sommet approchait, avec l’émergence de nouveaux pics dont je ne saurais dire le nom. Julien s’impatientait bien un peu de me voir. Plus loin, sur l’autre versant, le lac de barrage semblait bien austère sous les parois grises. Mais nous ne nous dirigerons pas vers lui. Nous allons prendre le téléphérique pour gagner Gsteig d’où nous repartirons pour le col du Pillon.




00:00:00 • Claude M • Commentaire publié le 27/02/2021




00:00:00 • Sébastien M • Commentaire publié le 02/09/2021
Ah, le Sanetch...

Fait 15j après la route des grandes alpes, je l'ai trouvé plus dur que le Télégraphe/Galibier, c'est dire.



Outre la longueur, c'est l'irrégularité des pourcentages dans sa seconde partie qui le rend si dur (passage à 16%). Cela ne se voit pas dans le profil mais on le sent bien dans les jambes !



La montée est très belle, on passe des vergers de la vallée aux vignes des coteaux, puis à la forêt et enfin aux alpages et au lac du sommet. La descente peut se faire par télécabine vers Gsteig si on veut faire une boucle.
02:30:00 • Rako • Commentaire publié le 24/03/2019
00:20:22 • Marc G • Commentaire publié le 01/11/2017
03:37:00 • Kento K • Commentaire publié le 24/10/2020
00:00:00 • Aidan J • Commentaire publié le 06/08/2019
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