01:09:00 • pierrot_54
Temps entre Schirmeck et la D.214.
Une montée intéressante, avec de belles vues. Une montée assez irrégulière avec quelques passages raides, notamment après l'embranchement pour Natzwiller et après le mémorial du Struthof, mais rien qui dure (moins de 1.5 km pour ces deux passages).
Une montée usante tout de même car il est difficile de trouver un rythme.

01:10:00 • Michel G • Commentaire publié le 27/03/2016
Monté depuis Rothau belle montée pas trop difficile et toujours un moment d'émotion en passent devant le camp du Strthof.
01:02:00 • Fabien L • Commentaire publié le 09/12/2016
Temps depuis Rothau jusqu'à la crête.

Ca ne commence à monter réellement qu'à partir de Rothau.

Je trouve ce versant très usant (peut être parceque réalisé en fin de parcours à chaque fois !?). La pente est assez irrégulière et il est difficile de trouver son rythme. La route est propre mais avec un bitume qui accroche. Attention en cas de vent car le haut est très exposé ! Je trouve que le pourcentage moyen exprime mal la difficulté de ce col qui reste un beau col.

A ne pas oublier, il y a des vues sympa surtout en 2ème partie.

Pour les moins téméraires ou pour changer un peu, il existe une variante qui passe par le village de Natzwiller. C'est un peu plus long mais moins pentu.
00:00:00 • dyeounet
La montée dite du "struthof" car elle passe par l'ancien camp de travail, aujourd'hui lieu de mémoire, visitable toute l'année.

Assez irrégulière, mais le revêtement est de bonne qualité et ça tournicotte bien.

Une bonne petite montée déjà.
00:00:00 • lavilo
Montée assez sympa (hormis le passage devant le Struthof, ancien camp de concentration nazi). Le cadre en haut est bien joli.
00:00:00 • jll34 • Commentaire publié le 12/11/2015
Montée en 2 temps : une première partie exigeante (avec passage à côté du camp de concentration du Struthof) et un final pépère sur le plateau du Champ du Feu

Récit + commentaires => https://lesbaroudeursenvadrouille.wordpress.com/2015/11/12/8eme-etape-selestat-obernai/
00:00:00 • benital34 • Commentaire publié le 19/09/2016
Montée longue et assez exigeante dans sa première partie.

L'ascension débute réellement à Rothau, petit village au passé industriel traversé par la grande route de Saint-Dié. On suit une étroite vallée perpendiculaire à celle de la Bruche en direction du village de Natzwiller, le long des maisons ouvrières puis dans la forêt. Une variante un peu plus longue (et donc moins dure) est d'ailleurs possible par ce village. La route principale s'enfonce dans les bois de résineux et de châtaigniers avec des passages assez raides, autour de 8-9% sur d'assez longues portions. Quelques vues vers Neuviller et le versant d'en face, puis on change de versant pour passer sous le Struthof, atteint après une dernière épingle. Le lieu est austère et poignant.

La montée se poursuit dans une végétation plus éparse, en balcon au-dessus de Natwiller. Quelques beaux points de vue dans la direction de Saint-Dié, notamment dans une clairière qui constitue la dernière rampe digne de ce nom.

La suite est beaucoup plus irrégulière, longue alternance de replats et de côtes, avec très peu de virages. Retour dans la forêt dense à la bifurcation de Barr et d'Obernai. Les deux derniers kilomètres sont par contre à découvert, avec de très belles vues vers l'Ouest et le Donon au-dessus de la station de sports d'hiver. Des bruyères en fleur et des sentiers partout. La tour au sommet s'atteint par une dernière petite côte assez aisée.


00:00:00 • Siberian Wolf 10 • Commentaire publié le 08/06/2024
Mardi 28 mai 2024. Après un petit voyage en TER (Train Express Regional) depuis Obernai, j’arrivais à la gare SNCF de Rothau (67) où je pourrais effectuer la sortie à laquelle je pensais depuis de longs mois, à savoir monter le Champ du Feu en passant par l’ancien camp de concentration de Natzweiler-Struthof, en courant et marchant à pied pour préparer les objectifs de l'été.



Je commençais réellement la sortie à 10h depuis la gare SNCF de Rothau (338m) et suivais la route D130 en direction de l’ancien camp de concentration de Natzweiler-Struthof. J’arrivais à 11h devant l’ancienne chambre à gaz (710m environ) mais elle n’ouvrait qu’entre 13h et 17h. Puis en continuant sur la route j’arrivais au centre du résistant déporté (790m) où j’ai acheté un billet pour la visite du camp, au prix de 8 €. J’ai commencé la visite vers 11h50. Je n’ai visité que le camp de concentration car le centre du déporté résistant inauguré en 2005 me paraissait artificiel et inintéressant. Parmi les visiteurs, il y avait plusieurs groupes scolaires français ou allemands.



Il y avait plusieurs baraquements à visiter dont l’un contenait un ancien four crématoire et la visite fut assez longue d’autant qu’en quittant le camp principal vers 12h50 je me suis dirigé vers le bâtiment des chambres à gaz plus bas qui allait ouvrir. C’est ainsi que je terminais la visite vers 13h35 en retournant au-dessus du camp.



Alors je pouvais continuer la longue ascension vers le Champ du Feu sur une ascension qui devenait plus roulante après. Sur cette même route, je passais également devant la Pierre de Mémoire (1004m) vers 14h35 mais la route était encore longue. La tour du Champ du Feu (1098m) se dévoilait tardivement et je n’y arrivais que vers 16h, après une pause. Elle était fermée provisoirement soit à cause du crépissage soit à cause d’une touriste qui était montée en sandales et qui avait déposé une plainte après avoir eu une cheville foulée, selon un passant que j’avais entendu. Toutefois, pour ce qui est du panorama, j’avais pris soin de prendre des photos juste avant. Il y avait ici quelques marcheurs et quelques cyclistes aussi.



Se posait désormais la question de mon itinéraire pour le retour. Normalement, j’avais prévu de prendre un TER à 16h29 à Fouday en sachant que si ma visite du camp du Struthof était trop longue, je risquais fort de ne pas pouvoir le prendre sachant que le prochain à Fouday était à 18h44 et après une correspondance à Molsheim, il me ferait retourner à Obernai à 20h25. Je pensais donc rallonger mon retour en ne prenant pas le TER mais en faisant intégralement le trajet à pied sur un autre versant en ralliant Obernai par Klingenthal soit un parcours retour de 23,8 km alors que pour descendre à la gare SNCF de Fouday, la distance ne serait que de 11 km, mais avec trop d’attente en fin de compte. En courant vite dans la descente, je pouvais espérer gagner du temps même avec un trajet plus long.



Mais avant de partir, j’ai vérifié si dans les gares SNCF voisines de celle de Fouday, il n’ y avait pas de train qui partait avant sachant que les TER ne passent pas systématiquement à toutes les petites gares à chaque heure. Et là bingo j’ai vu un train à 18h10. qui partait de la gare de Rothau et me feraient arriver à Obernai après une correspondance à Molsheim. Et ce retour à pied ferait 15,7 km. Pour 18h10 c’était faisable si je ne trainais pas. Je prenais donc cette option qui me ferait arriver à 19h25 à Obernai, soit une heure d’avance par rapport au prochain train prévu à Fouday.



Vers 16h25, je me lançais donc dans la descente et passait vers 16h35 par le col de la Charbonnière (961m). Là je vis deux skaters qui se sont lancés quelques minutes plus tard dans la descente sur la même route que moi, la D57. Je courais vite dans la descente, prenant toutefois quelques photos sur de longs bouts droits ou passages distinctifs pour publier plus tard les photos. Vers 17h40, je finissais la descente à Fouday (400m environ) et enchainais immédiatement ma course sur la route D1420. Ce n’était pas idéal car il y avait de la circulation automobile sur cette route pas vraiment faite pour des piétons. Mais maintenant je n’avais plus le choix, il fallait foncer ! J’ai couru aussi vite que j’ai pu sur ce tronçon de 5,2 km.



Et je suis parvenu à 18h09 à la gare SNCF de Rothau, prenant le train express régional avec un peu plus de deux minutes d’avance car il y a toujours un petit décalage entre l’heure de ma montre et celle de la SNCF. J’étais soulagé.



J’avais parcouru aujourd’hui 37,9 km à pied et 880m de dénivelé :

- 19,39 km + 2,8 km camp + 10,52 km + 5,22 km

- 760m + 120m au camp = 880m de dénivelé
00:00:00 • Edern A • Commentaire publié le 05/06/2022
Montée longue avec des changements de pente fréquents. Le début est bien raide tandis que la fin est quasi plate. Entre les deux, tout un éventail, en passant dans les superbes paysages des Vosges. Globalement, hormis le démarrage, c'est une montée pas excessivement difficile. Attention tout de même : le sommet du Champ du feu est souvent venteux...
01:15:00 • Clément P
00:00:00 • cyclodocus
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